Andrée Langevin, courtier immobilier chez Immeubles Stuart, est passionnée de maisons depuis longtemps. Dès l’âge adulte, elle acquiert successivement quatre maisons : deux qu’elle fait construire et deux qu’elle rénove.
Une rencontre marquante
C’est en février 2005, à la recherche d’une demeure à Saint-Lambert, qu’elle décide de transformer sa passion pour l’immobilier en un réel métier.
Deux semaines plus tard, elle est déjà inscrite au programme de courtage d’immobilier et huit mois après, c’est la regrettée June McGarr qui la prend sous son aile. « Je savais que c’était d’elle que je voulais apprendre. Son humanité et son intelligence m’ont interpellée dès notre première rencontre », raconte Andrée avec émotion.
La satisfaction du client
À l’instar de son mentor, écoute et exibilité sont à la base du travail d’Andrée. Son but premier n’est pas de vendre des maisons, mais de comprendre les besoins de ses clients, autant acheteurs que vendeurs, et de les combler le mieux qu’elle peut.
Andrée Langevin possède un profond sens du devoir, qu’elle applique tant dans sa vie privée que dans ses implications sociales et son travail. « Je suis au service des gens, dit-elle, et du bien commun. L’identité, personnelle comme professionnelle, se doit d’être indissociable. J’aime la cohérence et l’authenticité! » conclut-elle en riant.
L’implication sociale
Déjà, au début de la vingtaine, Andrée Langevin était bénévole auprès des personnes du troisième âge. Plus tard, avec ses enfants, elle s’implique auprès de l’organisme dans la rue.
Par ailleurs, à l’école alternative fréquentée par ses enfants, elle organise différents projets de conscientisation à caractère social ou écologique. Enfin, à Saint-Lambert, longtemps engagée au sein du conseil d’administration de La Fondation des Amis de la bibliothèque, elle collabore maintenant à celui de la Foire d’art contemporain.
Une rencontre marquante
C’est en février 2005, à la recherche d’une demeure à Saint-Lambert, qu’elle décide de transformer sa passion pour l’immobilier en un réel métier.
Deux semaines plus tard, elle est déjà inscrite au programme de courtage d’immobilier et huit mois après, c’est la regrettée June McGarr qui la prend sous son aile. « Je savais que c’était d’elle que je voulais apprendre. Son humanité et son intelligence m’ont interpellée dès notre première rencontre », raconte Andrée avec émotion.
La satisfaction du client
À l’instar de son mentor, écoute et exibilité sont à la base du travail d’Andrée. Son but premier n’est pas de vendre des maisons, mais de comprendre les besoins de ses clients, autant acheteurs que vendeurs, et de les combler le mieux qu’elle peut.
Andrée Langevin possède un profond sens du devoir, qu’elle applique tant dans sa vie privée que dans ses implications sociales et son travail. « Je suis au service des gens, dit-elle, et du bien commun. L’identité, personnelle comme professionnelle, se doit d’être indissociable. J’aime la cohérence et l’authenticité! » conclut-elle en riant.
L’implication sociale
Déjà, au début de la vingtaine, Andrée Langevin était bénévole auprès des personnes du troisième âge. Plus tard, avec ses enfants, elle s’implique auprès de l’organisme dans la rue.
Par ailleurs, à l’école alternative fréquentée par ses enfants, elle organise différents projets de conscientisation à caractère social ou écologique. Enfin, à Saint-Lambert, longtemps engagée au sein du conseil d’administration de La Fondation des Amis de la bibliothèque, elle collabore maintenant à celui de la Foire d’art contemporain.